B. FITZGERALD | she is fire

**Bianca Fitzgerald** Jeu 2 Juil - 0:08

♦ État Civil

• Nom(s) : Fitzgerald.
• Prénom(s) : Bianca, Aileen. Toutefois, les gens se contentent généralement de B.
• Date de naissance : Le 9 août 1983.
• Lieu de naissance : Cork, Irlande.
• Nationalité : À la base, Bianca ne devrait se considérer qu’Irlandaise, puisqu’il s’agit de la nationalité de ses deux parents et du pays où elle a vu le jour. Toutefois, puisque ces derniers ont emménagés à Amsterdam lorsque la petite n’était âgée que de 2 ans et que Bianca n’a plus quitté le pays depuis, elle a également adoptée la nationalité hollandaise, représentative de son pays d’adoption.

♦ Curriculum Vitae

• Occupation : Pas besoin d’être medium pour deviner la profession qu’exerce Bianca au quotidien ; les traces de peinture sur ses vêtements, la craie qui saupoudre le bout de ses doigts, les marques de feutres qui ornent parfois son visage… tout chez elle la désigne comme l’enseignante de maternelle typique. Diplômée depuis déjà quelques années, Bianca s’est vu attribuée une classe de maternelle d’Amsterdam sur laquelle elle veille amoureusement depuis sa graduation. L’étendue de ses tâches inclue, entre autres, l’apprentissage des premières bases de l’alphabet, la peinture avec les doigts, le remplacement affectif de papa et maman et le long et périlleux chemin vers la maîtrise de la paire de ciseaux.
• Parcours : Pour Bianca, les études n’étaient ni plus ni moins qu’un moment comme un autre à passer. Intelligente mais loin d’être studieuse, elle parvenait toutefois à atteindre des notes fort respectables qui lui auraient sans doute ouvert les portes de tous les domaines dans lesquels elle aurait aimé appliquer. Mais Bianca n’avait qu’un but : devenir infirmière. Ce n’est qu’à la fin de sa première année de cours spécialisée qu’elle se découvrit un inconfort grandissant à l’égard du sang, détail non négligeable pour une jeune femme dont le rêve consistait précisément à baigner quotidiennement dans les effusions d’hémoglobine. Quelque peu démoralisée par l’échec de sa première ambition, Bianca se tourna –plus par dépit qu’autre chose- vers l’enseignement à la maternelle et ce n’est que là qu’elle découvrit sa réelle vocation.

• B. & LA CUISINE. Si elle assume allégrement être incapable de faire la moindre omelette sans répandre de la mixture sur chaque mur de la cuisine, Bianca peut toutefois se vanter de brillamment réussir chacune de ses recettes et/ou tentatives culinaires. En effet, il semblerait que le fait d’avoir été enfantée par la chef cuisinière d’un hôtel de renom ait eu du bon pour elle ; Bianca possède une aisance naturelle en matière de cuisine, aisance qui lui permet d’inventer elle-même plusieurs de ses recettes les plus appréciées (quoique toujours très conviviales) et de transformer un lunch de dernière minute en festin entre amis. Sa facilité à manier la nourriture va heureusement de paire avec son amour pour la cuisine ; si elle en avait eu la chance, il n’y a aucun doute qu’elle travaillerait aujourd’hui dans le domaine culinaire. Dommage, toutefois, que son talent en matière de gastronomie l’ait complètement privé d’une quelconque sens de la propreté. Ceux qui songeraient à la faire entrer dans leur cuisine devraient également prévoir une équipe de nettoyage spécialisée.
• B. & L’ALCOOL. Les soirées bien arrosées sont souvent lieux de rassemblement de diverses personnes aux rôles et occupations hautement différents ; il y a ceux qui dansent sur les comptoirs, ceux qui vomissent dans les toilettes (ou ailleurs), les nouveaux couples qui oublient toute pudeur dans une quelconque pièce fermée et la personne qui observe cette diversité en riant à gorge déployée, un verre dans une main et les cheveux d’une malade gémissante dans l’autre. Bianca occupe à elle seule la dernière catégorie. Si elle-même soutient qu’il s’agit d’un cadeau divin de ses ancêtres Irlandais (car –toujours selon elle- aucun peuple ne maîtrise davantage l’art de la boisson que celui provenant d’Irlande), personne n’a encore découvert le secret de son incroyable résistance à l’alcool. Certes, Bianca se saoule au même titre que les gens de son entourage ; dans ces moments, elle enchaîne les conneries (comme elle le fait de toute façon dans son état le plus sobre) et il lui arrive d’être cette femme qui danse sur n’importe quel comptoir disponible. Toutefois, elle ne perd jamais réellement contact avec le monde l’environnant et au moindre besoin, toute trace d’alcool semble s’effacer. Cet avantage, fort pratique pour elle –en effet, on a tendance la détester de ne pas connaître l’expression ‘gueule de bois’- se révèle également fort utile pour son entourage, puisque Bianca s’est auto-nommée sauveuse suprême des saoulons en détresse.
• B. & LES GENS QU’ELLE AIME. Jamais Bianca n’a renié le moindre défaut que l’on aurait pu lui attribuer. Ceci étant dit, elle est également pleinement consciente de son engagement envers les gens qu’elle aime. Et ils sont nombreux. En effet, B. se considère elle-même comme une « fleur bleue de l’amitié » ; elle s’attache extrêmement rapidement aux gens qui passent –parfois de manière éphémère- dans sa vie et met un point d’honneur à le leur démontrer. Affectueuse et généreuse, elle cumule les petites affections, les câlins spontanés et les compliments comme s’il s’agissait là de son humble rôle. Heureusement pour elle, les gens ont tendance à lui rendre la pareille car si Bianca s’attache facilement aux gens, on ne peut cacher que les gens tombent facilement sous le charme candide de cette enfant aux boucles de feu. Spontanée, trop bavarde et généralement inutilement surexcitée, elle sait s’attirer l’affection de ses amis comme celle des presque étrangers. Si cela représente évidemment un point positif dans son existence, elle ne se formaliserait toutefois pas du contraire ; elle donne sans compter, certes, mais est bien consciente que tout le monde ne peut pas exprimer son affection de la même manière. Ou même éprouver de l’affection tout court.

♦ Hey Eugene

• B. & LE SPORT. Lorsque le manque de fiabilité de chacun de nos amis nous pousse à dénicher urgemment quelqu’un pour nous accompagner à un quelconque match d’un quelconque sport, la question ne se pose même plus à Amsterdam : Bianca est la personne à inviter. Pas seulement parce qu’elle est jolie et mange divinement bien le hot-dog, messieurs ; il semble que son amour pour le sport n’ait aucune limite. Football, hockey, natation, football américain, rugby, elle connaît toutes les règles, tous les joueurs, s’enrage comme un homme devant l’incompétence des arbitres et célèbre la victoire de son équipe chérie comme personne. Il est toutefois dommage que cette passion du sport ne puisse être mit en pratique, cela représentant un danger grave pour elle comme pour quiconque partageant le même terrain. Bianca a depuis longtemps cessé de tenter, en vain, de faire d’elle-même une athlète confirmée ; ses dernières tentatives ont salement amoché son poignet droit, son genou, son épaule gauche et ont laissé plusieurs marques permanentes à divers endroit sur son corps. Visiblement, le domaine sportif ne peut supporter la maladresse légendaire de Bianca Fitzgerald.
• B. & SES IDOLES. Comme si son langage et sa façon de vivre n’étaient pas déjà assez particuliers, Bianca se fait devoir de faire référence à ses idoles –nombreuses, soit dit en passant- aussi souvent qu’il est possible de le faire. Ainsi, non seulement lui arrive-t-il trop souvent de citer une réplique de George Clooney ou Harrison Ford, d’incorporer les paroles des chansons d’Aerosmith à ses conversations et de se défendre en utilisant des brides des discours de John F., mais elle assume également ne jurer que par le Chanel no 5 (le même que Marilyn Monroe), prier le Saint-Elvis-Presley à chaque matin et se référer à Stephen King en matière de défense contre les créatures du Diable. En date d’aujourd’hui, il ne lui manque que le veston de cuir rouge de Michael pour se proclamer femme épanouie.
• B. & LES ENFANTS. Il aurait été inconcevable de la part d’une éducatrice en maternelle de ne pas aimer les enfants, certes. L’attraction qui unie réciproquement Bianca et les enfants demeure toutefois un fait hautement impressionnant quand on constate l’incroyable force de cette dite attraction. Il semble que Bianca soit incapable de résister à la bouille d’un enfant –quel que soit son âge, sa race, son sexe ou son degré de propreté- et les concernés lui rendent admirablement bien ce surplus d’amour ; n’importe quel enfant à qui Bianca est présenté fait systématiquement d’elle sa ‘chouchou’, voir sa ‘nouvelle amoureuse’ (ce qui rend le fait qu’elle ne planifie pas avoir d’enfant d’autant plus étonnant). Cette relation est d’ailleurs à l’origine de la passion de Bianca pour se métier et de la faciliter qu’elle a à la pratiquer : en tant qu’ « amoureuse » et « meilleure amie » de tous ses élèves, elle impose un respect subtil et silencieux qui font des envieux dans les classes voisines. Si c’est une technique qu’elle possède et perfectionne, elle en garde précieusement le secret.

**Bianca Fitzgerald** Jeu 2 Juil - 0:09

♦ No Hay Problema

• B. & LA ROUTINE MATINALE. Parce qu’elle ne connaît plus la sensation d’une nuit de sommeil réparatrice depuis longtemps, Bianca mise sur une routine matinale stricte et complètement ridicule pour l’éveiller au mieux de ses capacités. Ainsi, où qu’elle soit, qu’importe l’heure et les gens présents, elle se doit (davantage par habitude que par réel besoin) d’exécuter une certaine chorégraphie d’actions sans laquelle il lui est impossible de fonctionner tel l’humain normal qu’elle prétend être. Il lui faut d’abord ouvrir la radio –l’artiste choisi change selon les semaines, mais les groupes Heart et Kiss demeurent les plus populaires- et ce afin de couvrir les bruits de sa douche de son chant fort et généralement décalé du rythme. La douche prise –elle se doit d’être glacée, sous peine qu’elle s’y endorme littéralement-, la rouquine confie un muffin aux bleuets au micro-ondes, actionne la cafetière et se met en mode « coiffure-maquillage » en se promenant à travers son appartement au rythme de ses pas de danse approximatifs. Une fois esthétiquement prête à être montrée en public, elle enfile des vêtements (elle prend soin d’y songer la vieille, au coucher, mais son choix final se porte toujours sur quelque chose d’autre), empoigne son café, se brûle (cela lui arrive tous les matins, et ce depuis environ trois ans) et dévore son muffin en quatre bouchée. Pas une de plus, pas une de moins.
• B. & SON LANGAGE. N’ayez crainte, Bianca s’exprime généralement de manière sensée en utilisant des mots communs à la plupart des habitant d’Amsterdam ; une maîtrise en langues n’est pas nécessaire à la compréhension de ses tirades passionnées. La particularité de son langage ne réside pas dans les mots qu’elle emploie, mais plutôt l’utilisation qu’elle en fait et ceux à qui ils s’adressent. Ainsi, Bianca donne systématiquement un nom à tout objet ayant une quelconque importance dans sa vie ; sa voiture se prénomme Charley, son portable Adolphe et sa bibliothèque s’est vu attribuée le doux prénom de Berthe. De la même façon que les surnoms qu’elle attribuent aux objets, les expressions que B. utilise à des fins supposément insultantes étonnent. Loin d’être d’un naturel vulgaire, la jeune femme préfère mettre au point ses propres insultes et exclamations de rage ; on se souviendra, entre autre, des mémorables « Sapristi de pain moisi ! » et « T’es qu’un sabot de cheval abandonné dans une clairière pleine de purin. »
• B. & LE CHEWING GUM. Il n’y a personne au monde qui soit plus adepte de chewing gum que ne peut l’être Bianca Fitzgerald. Faisant fit des conseils de son dentiste (qui ne cesse de lui répéter qu’à quarante ans, sa mâchoire ne sera plus qu’un vestige du passé), B. collectionne les saveurs, empile les paquets et s’assure de toujours –toujours- avoir un chewing gum en bouche. Si elle sait habituellement le mâcher avec classe et discrétion, il lui arrive parfois, soudainement sujette à un moment d’inattention, d’agir comme le ferait n’importe quelle enfant de 8 ans à sa place ; dans ces moments, elle s’efforce de créer la plus grosse bulle possible, et ce même si elle est pleinement consciente que n’importe lequel de ses amis se fera un plaisir de la lui faire éclater en plein visage.

♦ La Soledad

• B. & LA FAMILLE. Si Bianca recrée systématiquement une dynamique familiale auprès de ceux qui l’entourent, les considérant tour à tour comme enfant, parents, frères et sœurs, c’est sans doute parce que l’ambiance familiale dans laquelle elle a évoluée, enfant, lui a laissé un goût amer dont elle peine encore à se débarrasser. Il n’y a eu ni coups ni violence, certes, mais l’indifférence dont elle a été victime tout au long de son enfance a explosée au moment de l’adolescence, rendant ces années impossible sous le toit familial. Dès le début de sa quatorzième année, les cris ont commencés à se succéder chez les Fitzgerald, bientôt suivit des claquements de portes et du bruit caractéristique de vaisselle fracassée contre un mur. Le jour de ses dix-huit ans, les valises de Bianca avaient été faites et l’attendaient sagement dans le hall d’entrée, ne la surprenant qu’à moitié à son retour de l’école. Si aujourd’hui, la famille Fitzgerald tente de faire bonne figure et si quelques cartes sont poliment échangées durant l’année, personne n’est dupe : on a vu famille plus unie.
• B. & LE FAIT DE VIEILLIR. Elle se sent plus proche de la majorité des enfants que de biens des adultes ; elle adore le sport à la télé et les consoles de jeux ; elle adore se batailler avec les gens de son entourage comme le font généralement les petits garçons ; l’idée de vieillir l’effraie au plus haut point. Bianca elle-même ignore d’où lui vient cette angoisse reliée au temps qui avance, mais chacun de ses anniversaires est accueilli par un doute et une anxiété qui grandit au fil des années. Si on devait lui trouver une réelle phobie, une peur ultime dont elle refuse même de parler, aucune consultation ne serait nécessaire : en date d’aujourd’hui, il n’y a rien qu’elle ne craint davantage que le matin de ses trente ans.
• B. & LE SOMMEIL. Bianca est une insomniaque diagnostiquée. Quelques rendez-vous chez le docteur et quelques heures passées sur un divan inconfortable ont confirmées ce qu’elle savait déjà depuis bien longtemps : elle est incapable de dormir aussi naturellement et longtemps que le font les humains normaux. En réalité, elle dort rarement plus de trois ou quatre heures par nuit, et ce peu importe l’heure à laquelle elle se couche où les mille et une techniques de relaxation qu’elle pourrait essayer. Au fil des années, B. a finit par s’habituer à cette situation qui n’a pas encore de réelle explication ; la plupart du temps, elle passe ses nuits devant certains de ses vieux classiques cinématographiques (ce qui explique que sa collection de film soit si impressionnante), s’assoupit le temps de quelques heures et se plonge dans un livre pour les heures de nuit restantes. Ses meilleures nuit sont indéniablement celles qu’elle passe à arpenter les bars ; non pas que l’alcool ou une compagnie masculine l’aide à mieux dormir, au contraire, mais le fait de rentrer à trois heures du matin et de dormir jusqu’au environ de six heures, comme tous les adultes moyens, lui donne l’incroyable impression d’avoir eu droit à une nuit de sommeil réparateur. Illusion, quand tu nous tiens.

♦ Tea for Two

• Elle utilise l’excuse ‘Je suis Irlandaise’ à toutes les sauces possibles et inimaginables, et ce même si elle n’a passé que quelques mois dans son pays natal.
• Sa couleur de cheveux est également l’une de ses justifications favorites, et ce même lorsqu’elle n’a aucun lien immédiat avec le sujet évoqué.
• Si elle éprouve quelques difficulté à l’égard de la nouvelle technologie récréative, elle demeure incapable à battre devant un Nintendo 64.
• Elle est incapable de prendre un taxi sans oublier sa destination ou traumatiser le chauffeur. Pour ces raisons, elle s’est acheté une voiture et évite de son mieux le taxi et les transports en commun.
• Néanmoins, elle parvient la plupart du temps à oublier sa destination même lorsqu’elle est au volant de sa voiture.
• Des médicaments lui ont été prescrits pour son insomnie, mais elle n’a jamais envisager la possibilité même de les prendre. Principe oblige.
• C’est une fumeuse à temps partiel.
• Elle n’a jamais supporté de dormir dans un véritable pyjama ; elle ne jure que par les vieux vêtements qu’elle a piqué à Aaron sans jamais les lui remettre.
• Il lui arrive parfois de fredonner en public (et elle se ne gêne certainement pas pour le faire lorsqu’elle se croit seule) et la majorité des gens en sont venus à la conclusion que Bianca possédait un ton de chant étonnement agréable.
• Mais un sens inexistant du rythme.
• Certains matins, à la sortie de la douche, il arrive à ses cheveux d’oublier qu’ils sont frisés. Elle en profite amplement, puisqu’elle est beaucoup trop fainéante pour prendre le temps de lisser ses cheveux au fer.
• Bianca est gauchère et inutilement fière de l’être.
• Sa mémoire des prénoms est incroyablement mauvaise. Dans l’espoir de faire paraître ce détail inaperçu, elle s’efforce d’attribuer des surnoms qui ne l’obligent pas à admettre son oubli. La plupart du temps, c’est un échec.
• Elle possède toutefois une impressionnante mémoire des visage. Elle arrive sans difficulté à se remémorer la force exacte du nez d’un homme rencontré pendant quelques minutes dans un bar obscur, trois ans auparavant. Bien que généralement inutile, cette capacité se révèle parfois pratique… mais elle n’a pas encore fait ses preuves.

♦ Que Sera, Sera
• Avatar : Rachel Lefevre

• Qui es-tu ? : Personne d’important, qu’une revenante qui vient retrouver certaines vieilles connaissances –cette fois-ci de manière définitive Laughing

• Un truc à dire ? : Ceux qui se reconnaîtront (parce que je ne connais certainement pas tout le monde, loin de là) : vous m’avez manqué Cute

**Reese Edelstein** Jeu 2 Juil - 0:11

Je suis pas certaine d'avoir reconnu Gniii

mais bienvenue I love you

EDIT : Ah bah si donc : Cute

**Aaron Lancaster** Jeu 2 Juil - 0:15

MA REINE DES CHIEUSES DE MA VIE D'AMOUR Cute

HANLALALALA COMME JE TE L'AI DIS PAR MP TU M'AS TELLEMENT MANQUE Sad

Je suis tellement contente que tu sois là de retour parmi nouuus Gniii

**Marykus Rice** Jeu 2 Juil - 0:16

IZZAAAAAAAAA!!! BECKY D'AMOUR!!! glomp

**Derek Stoneham** Jeu 2 Juil - 0:17

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH[...]AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH Woo

AAAAAAAAAAAAAAH MAIS CA FAIT TELLEMENT PLAISIR MONDIEU Cute

**Jamie Verdi** Jeu 2 Juil - 0:18

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN. Shocked

MA MOITIÉ D'ESTOMAC OH MON DIEU OLALALALA JE SUIS SI HEUREUUUUUUUUUUSE. Balov

**April Lancaster** Jeu 2 Juil - 0:19

HAAAAAAAAAAAN Cute

Comment que c'est trop la classe que tu sois là Gniii

**Lorenzo Baretti** Jeu 2 Juil - 0:20

Je suis la seule à pas reconnaître ou ... ? WallE

**Bianca Fitzgerald** Jeu 2 Juil - 0:52

Je n'ai pas été oubliée Shocked

Merde, je suis vachement impressionnée (j'aurais pu dire émue aussi, mais je ne voudrais pas tomber dans le sentimentalisme dès maintenant, je vous ferais peur) I love you

VOUS M'AVEZ TOUS MANQUÉ MES PETITES QUICHES CHÉRIES DE MON COOOOOOOO[...]EUR Cute

Lorenzo > On s'est très probablement connu sur -si je ne me trompe pas- le dernier forum où tu as joué un John Mayer qui se nommait Lorenzo Bigsmyle