AURA BARBARA ▬ she's a misery | DONE

**Aura Barbara Pajares** Ven 3 Juil - 15:50

État Civil

• Nom(s) : Pajares Holmes.
• Prénom(s) : Aura Barbara.
• Date de naissance : 13 Février 1984
• Lieu de naissance : La Valette, Malte.
• Nationalité : Anglo-espagnole.

Curriculum Vitae

• Occupation : Il faut avouer qu’il est assez difficile de définir précisément le travail qui règne sur la vie de Barbara. Peut-être parce qu’il y en a pas réellement. On pourrait tantôt la définir d’écrivain, tantôt d’actrice ou encore de peintre. C’est une artiste, au plus profond de son âme, au plus profond de son être. C’est ce pour quoi elle est née. Pourquoi vivre si ce n’est pour créer ou pour donner l’envie de créer ? Car on pourrait aussi définir Aura Barbara comme une muse. Oui, elle est de celles qui sont adorées par les plus grands, de celles qu’on adore, à qui on doit tout. Mais cette occupation ne lui suffit apparemment pas puisqu’elle ne peut s’arrêter de peindre, de photographier, d’écrire, de composer. Sans arrêt, sans jamais avoir envie d’arrêter. Toujours créer. Encore et toujours.
• Parcours : Dès ses plus jeunes années, Aura Barbara s’est mise à rêver, à voir dans les artistes qui faisaient partie de son entourage la personne qu’elle serait. Cela ne pouvait pas en être autrement. Elle les voyait si libres, si heureux que c’était la seule chose à laquelle elle aspirait. Alors, quand elle eut le choix de s’orienter dans les arts c’est ce qu’elle fit. Son dossier fut aussitôt accepté à la prestigieuse Ecole Boulle de Paris. Mais même cette école ne semblait pas lui convenir. Pour elle, elle ne permettait pas « un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens » comme le disait si bien Rimbaud. Alors elle est partie. Elle a rejoint ces artistes qui lui permettaient d’en être une, à part entière. Et elle qui avait déjà beaucoup voyagé les suivait autour du monde à la poursuite d’un art unique, beau, vrai. Parfait. C’est de cette façon, après avoir inspiré les plus grands photographes, les plus illustres peintres ou les poètes les plus torturés qu’elle se retrouve à Amsterdam. Cette ville romantique, où il fait bon vivre. Une ville où les sens pourraient se dérégler d’une autre façon pour créer encore plus beau.

• LES FEMMES C'EST CHARMANT, MAIS LES CHIENS C'EST TELLEMENT PLUS FIDÈLE ; SACHA GUITRY. Aura Barbara est envoutante. C’est un fait et personne ne pourrait le nier sans éprouver force d’incertitudes. Elle est envoutante, c’est certain. Jamais son passage ne laisse indifférent. Au simple fait de croiser son regard perdu, elle hante les nuits de ces hommes bouleversés par l’apparition de cette femme qu’ils voudraient conquérir. Mais elle ne peut être totalement conquise. Elle seule conquit les cœurs par son mystère. C’est ainsi qu’elle a pu conquérir ces artistes fous, fous d’amour pour elle. C’est de cette façon qu’elle a pu apprendre en mettre en œuvre son art de la façon la plus précise possible, à son image. C’est ce charme fou qui lui a permit de s’affirmer, de devenir quelqu’un, de toucher toutes ces âmes. Aura Barbara est envoutante et son art l’est devenu. C’est ce qui la caractérise et grâce à ça elle peut faire ce qu’elle veut des autres, sans qu’elle ne s’en rende forcément compte.

• LES FEMMES QUI ONT DE LA MÉMOIRE SONT PERDUES ; BERTRAND VAC. Réciter des poèmes en ne les ayant lus qu’une seule fois, donner les dates de chaque auteur immédiatement, savoir le nombre de pages d’un recueil. Aura Barbara est capables de tout cela, et grâce à quoi ? Grâce à cette mémoire infinie qui lui permet de faire tant de choses. Quand elle s’intéresse à quelque chose, elle sait immédiatement replacer ce fait dans un contexte et un contexte dans les moindres détails. Grâce à cette mémoire incroyable, elle en sait toujours plus à propos de tout, certes, mais surtout en ce qui concerne ce qui la passionne, autrement dit l’art. D’un coup d’œil, elle peut reconnaitre les influences de tel ou tel peintre, les allusions à certaines œuvres. Il n’y a rien dont elle soit plus fière que cette capacité innée qu’elle a acquise et travaillée. Mais cette capacité follement enviée lui joue aussi des tours. On ne peut pas avoir que des avantages, n’est-ce pas ? C’est donc cette mémoire si précise, imperturbable qui permet à Aura Barbara de se souvenir de chaque moment dans les moindres détails. Et de sa nature tourmentée, elle voit les moments de bonheur suprême comme des instants perdus à jamais et ceux d’intense douleur comme s’ils se déroulaient au moment précis. Il lui arrive de chercher dans chacun de ses gestes, de ses mots une erreur qu’elle a pu commettre, une faute irréparable mais jamais elle ne trouve même si les souvenirs sont toujours précis. Sa mémoire lui permet de s’épanouir et de se détruire. Quel paradoxe cruel.

• LES DETAILS FONT LA PERFECTION, ET LA PERFECTION N'EST PAS UN DETAIL ; LEONARD DE VINCI. La perfection, le perfectionnement, être perfectionniste. Les maitres mots de Aura Barbara. Elle a toujours besoin que quelque chose soit parfait avant de le laisser de côté, d’être enfin satisfaite de son travail. Mais il faut avouer qu’il y a un petit problème à cela. Selon elle, la perfection ne peut jamais être acquise. On peut toujours tendre vers la perfection, c’est certain. Mais on ne peut pas créer quelque chose de parfait. C’est impossible. C’est pourquoi, Aura Barbara retravaille toujours tout ce à quoi elle touche. Tout ce qu’elle fait est toujours remanié, modifié par quelques petits détails qui font toute la différence. Et ils le seront encore et toujours par des détails auxquels on ne penserait même pas. Mais tendre vers la perfection demande ce travail incessant et on ne peut pas dire que cela dérange la jeune femme. C’est même sa raison de vivre. Trouver la perfection.

Hey Eugene

• IL EST IMPOSSIBLE QUE DEUX TÊTES HUMAINES CONÇOIVENT LE MÊME SUJET ABSOLUMENT DE MÊME MANIÈRE ; VICTOR HUGO. Quand on peut affirmer connaitre un tant soit peu Aura Barbara, c’est qu’on peut dire avec certitude ce qu’elle clame haut et fort : sa passion pour la littérature, et son aversion pour ce qui n’en est pas. Ce qui n’en est pas ? Oui, vous vous demandez surement ce qu’elle entend par là. Pour elle, tout ce qui n’a pas un style littéraire assez développé n’est que roman de gare ou pire encore, poésie qui ne peut être considéré comme telle. De plus, une œuvre doit avoir, en plus de ce style bien particulier à chaque auteur, un petit quelque chose qui la fait sortir du lot par sa pertinence et l’évasion qu’elle procure. On doit se plonger dans une œuvre comme si on rêvait, et le réveil n’apparaissant qu’au mot fin. C’est ce qu’Aura Barbara cherche dans la littérature. Et bien que certaines personnes trouvent cette sensation dans ces romans « de gare », Aura mettrait sa main à couper que cette évasion ne peut être aussi forte que dans un bel ouvrage comme on ne sait plus vraiment en faire de nos jours. Le déclin de la littérature si chère à cette jeune femme lui fait combattre toute forme d’écrit qui n’en vaudrait pas la peine. Cela peut être une solution radicale, et tout à fait inefficace, certes. Mais Aura Barbara ne fait jamais les choses à moitié, surtout quand il s’agit d’art.

• UN BATEAU EST UTILE POUR TRAVERSER UNE RIVIERE MAIS UNE FOIS LA TRAVERSEE EFFECTUEE, IL N'EST PAS NECESSAIRE DE POURSUIVRE SA ROUTE EN EMPORTANT LE BATEAU SUR SES EPAULES ; SWAMI SHANKARANANDA GIRI. Aura Barbara a un petit bateau dont elle se sert pour se déplacer dans Amsterdam. Elle adore cette sensation procurée par les vagues se brisant contre la coque alors qu’elle observe la ville. La petite cabine lui sert souvent de refuge lorsque l’inspiration lui manque. A croire que le courant de l’eau la ramène vers Aura Barbara plus rapidement. Ce bateau, légèrement rouillé par endroit, avec sa peinture un peu défraichie est ce qu’elle a de plus précieux et elle ne s’en séparerait pour rien au monde. Qui refuserait d’avoir la possibilité de vivre sur l’eau ?

• LE POETE SAIT JOUER SUR UNE HARPE SANS CORDES ET IL SAIT ENSUITE REPONDRE A CEUX QUI PRETENDENT N'AVOIR PAS ENTENDU LA MUSIQUE ; LAO-TSEU. Aura Barbara joue de la harpe. C’est d’ailleurs une des rares harpistes à ne pas se produire dans un orchestre. Elle préfère laisser le plaisir aux passants qui pourraient se trouver aux environs de son appartement d’en entendre le doux son en essayant de deviner de quel instrument il provient. Mais si la jeune femme reste anonyme devant les inconnus, elle le reste aussi devant ses amis puisqu’elle n’a jamais joué devant l’un de ses proches malgré les nombreuses demandes de ceux-ci. Ils n’ont donc jamais entendu les quelques morceau que la jeune femme a pu composer au fil de ses nombreuses années d’apprentissage.

**Aura Barbara Pajares** Ven 3 Juil - 15:51

No Hay Problema

• LA FEMME VIT EN GENERAL PLUS LONGTEMPS QUE L'HOMME POUR AVOIR LA ENCORE LE DERNIER MOT ; JEAN DELACOUR. Aura Barbara déteste avoir tord. C’est plus fort qu’elle, chaque chose qu’elle dit, qu’elle assure même, est forcément correcte et irréfutable. Sur ce point, même quand elle se rend compte que ce qu’elle dit est stupide, elle n’en démord pas. Elle sera toujours prête à se défendre, à garder la tête haute – même si l’inverse se produit parfois – et à rester sur ses positions. On peut s’entêter à lui faire comprendre que ce qu’elle dit n’a pas de sens, à lui prouver qu’elle à tord, rien n’y fera. On aura juste réussi à faire monter les tensions et avoir campé Aura Barbara dans ses certitudes. Bien sûr, quelques fois ça marche, mais Aura Barbara trouvera toujours une excuse, même si elle est bidon, pour excuser ses dires et elle partira sans laisser le temps de rétorquer puisqu’en plus de ça, elle aime avoir le dernier mot. De toute façon elle l’aura le dernier mot, puisqu’elle a raison. Pas vrai ?

• JE ME DEMANDE CE QUE FAISAIENT LES GENS APRES L'AMOUR, AVANT L'INVENTION DE LA CIGARETTE ; VASSILIS ALEXAKIS. Aura Barbara a une manie détestable qui est d’allumer une cigarette à n’importe quel moment. Bien sûr, la nicotine a déjà rendu son cerveau dépendant mais c’est toujours aux moments où on s’y attend le moins que la jeune femme sort son briquet et son paquet de Malboro pour en griller une. Elle peut s’en passer pendant des jours puis d’un coup, au beau milieu de la rue, s’arrêter brusquement et chercher furtivement dans son sac de quoi fumer. On pourrait appeler ça des pulsions mais ce serait bizarre. Pourtant c’est bel et bien ça. Comme on a des pulsions sexuelles, ou même meurtrières pour certains, Aura Barbara a des pulsions cigarettesques.

• L'ORDRE EST LE PLAISIR DE LA RAISON, MAIS LE DESORDRE EST LE DELICE DE L'IMAGINATION ; PAUL CLAUDEL. Vous avez décidé de vous rendre chez Barbara ? Vraiment ? Vous vous êtes préparé j’espère ? Oui, préparé au capharnaüm qui apparait au moindre recoin de son appartement. La jeune femme est incroyablement désordonnée. Certaines personnes le sont, c’est certain, mais il leur arrive de ranger pour accueillir par exemple, mais pour Aura, il vaut mieux qu’elle ne se mette pas à ranger puisque ce serait encore pire. Lorsqu’elle déménage, les cartons restent pleins pendant des mois avant de disparaître sous ce qu’ils contenaient. Oh, on pourrait appeler ça un désordre artistique en voyant la table de la cuisine au milieu des toiles et des tubes de peinture mais c’est bien pire. Le seul moment où l’appartement de Aura Barbara est rangé est au moment où elle rend les clés à son propriétaire. La minute d’avant, elle ne parvenait toujours pas à faire rentrer le reste de son désordre dans les deux derniers cartons. Vous avez dit désolant ? Oui, peut-être. Mais au moins la jeune femme a appris à vivre dans ce monde et elle trouve toujours immédiatement ce dont elle a besoin.

La Soledad

• LE BONHEUR DONT ON SE SOUVIENT EST SOUVENT UN BONHEUR PERDU ; HELENE RIOUX. Un visage. Un seul visage. Un qui semblait si réel, si identique. Ce visage n’appartenait pas à qui elle avait d’abord pensé mais il était si ressemblant … Ce seul visage qu’elle avait entre-aperçu au détour d’une rue amstellodamoise avait fait revenir à la surface tant de souvenirs. Des souvenirs si beaux, où elle avait été si heureuse mais aussi des souvenirs tout aussi beaux et forts mais qui l’avaient rendue si malheureuse. C’est ce qui l’avait forgée, ce qui avait fait d’elle cette femme si forte en apparence, cette femme passionnée, prête à aller jusqu’au bout de ses actes, guidée par ses émotions seules. Elle lui devait tout. Elle lui devait l’amour de Rimbaud, elle lui devait sa connaissance sur le nom des ponts parisiens. Elle lui devait ses rencontres avec Woody Allen et James Brown, Ray Charles et Pedro Almodóvar. Elle lui devait les plus belles années de sa vie. Elle lui devait la découverte de l’Art, du vrai. Elle lui devait l’Inspiration. Elle lui devait absolument tout. Maintenant, elle se souvenait de leurs promenades sur les bords du Canal St Martin à Paris, celles dans les rues désertes de Pompéi. Les douze cloches de minuits avec vue sur le Panthéon ou sur la frontière du mur de Berlin. Il lui avait fait découvrir le monde, il lui avait fait découvrir la vie. Jamais elle ne pourrait l’oublier. Jamais elle ne pourrait oublier l’avalanche de sensation qui la submergeait à chaque instant près de lui. Il lui avait ouvert les yeux sur qui elle était. Il lui avait permit de clamer haut et fort qui elle était, ce qu’elle valait. Elle n’avait pas 20 ans qu’elle avait déjà l’impression d’avoir vécu toute une vie. Elle avait grandi, muri. Elle était tombée amoureuse, avait connu le premier amour, sa première fois. Elle s’était mariée, avait déménagé. Elle avait rompu, renoué, crié et pleuré. Elle avait rit, aimé, chanté, sourit. Elle avait vécu puis elle avait perdu. Et maintenant elle survivait. Elle avait découvert autant de choses en quelques mois de bonheur qu’elle n’en avait jamais même connu l’existence. Elle avait surement vu trop de choses, été trop heureuse. Elle avait eu sa dose. Maintenant c’était fini. Définitivement.

• L'AMOUR VEUT VIVRE AUX DÉPENS DE SA SŒUR, L'AMITIÉ VIT AUX DÉPENS DE SON FRÈRE ; ARTHUR RIMBAUD. Aura Barbara est de celles qui pensaient qu’un frère doit absolument répondre au téléphone à sa sœur. Il doit être là pour elle en toute circonstance. Heureusement pour lui, c’est de cette manière qu’agissait son frère même s’il était toujours aussi loin. Ils se voyaient rarement et cela avait toujours été ainsi mais ces derniers temps cette grande sœur aurait bien eu besoin de la compagnie de son frère. Celle-ci était toujours rafraichissante et lui donnait un bien-être si fort qu’il restait en elle pendant les jours qui suivaient. Au contact de son frère, Aura redevenait la petite fille qu’elle avait été. Innocente, joyeuse, infatigable. Ils pouvaient passer des heures à jouer comme des grands gamins sans jamais qu’ils ne trouvent quelqu’un pour les réprimander. Ils pouvaient monter dans les arbres, faire la course pour aller se baigner, faire de mauvaises blagues aux passants sans jamais s’arrêter. Tous les deux, ils redécouvraient le monde à nouveau, s’étonnant de tout, appréciant chaque instant. Oui, ce frère qui lui était si cher lui manquait tellement. Mais il avait décidé de faire un road trip en Europe et elle ne pouvait pas lui empêcher de faire ça. De toute façon, il lui avait promis de finir par Amsterdam et de s’y installer quelques temps. Elle espérait bien qu’il reste plus longtemps que quelques temps et elle ferait tout pour qu’il reste auprès d’elle indéfiniment. Ou un peu moins.

• REGARDEZ UNE FEMME ENCEINTE : VOUS CROYEZ QU'ELLE TRAVERSE LA RUE OU QU'ELLE TRAVAILLE OU MEME QU'ELLE VOUS PARLE. C'EST FAUX. ELLE PENSE A SON BEBE ; ANNA GAVALDA. Qui pourrait croire qu’un jour Aura Barbara a pu être enceinte ? Qui pourrait croire qu’elle a porté un enfant en elle, qu’elle a accouché ? Personne n’en a jamais entendu parler. C’est la seule chose que Barbara veut à jamais garder pour elle. Son secret qui lui serre le cœur à chaque instant. Sa fille l’avait emplie de bonheur. Elle était la meilleure chose qui ne lui soit jamais arrivée, même à son jeune âge. Ces quelques jours qu’elle avait passé dans une maternité italienne à contempler sa fille avaient balayé tous les préjugés qu’elle avait pu porter sur la famille. Grâce à elle, elle avait compris qu’il y avait certains liens qui étaient indestructibles et qui restaient à jamais gravés en nous. En une semaine, Aura Barbara avait compris tant de choses qu’elle se demandait comment elle pourrait en apprendre autant dans les années à venir. Un bébé de quelques heures à peine lui avait ouvert une nouvelle porte alors de quoi serait capable une fille de 3 ans, une adolescente de 16 ans, une adulte de 32 ans ? Malheureusement, elle n’eut même pas la chance de savoir qu’elle porte pourrait lui ouvrir un bébé d’un mois. Une semaine, trois jours et six heures après sa naissance, Rosa Laura s’endormit pour ne plus jamais se réveiller.

Tea for Two

- Elle a une collection impressionnante de peluches Barbapapa.
- Elle est trésorière du groupe de lecture dédié à Jane Austen.
- Elle n’a jamais pris de coup de soleil.
- Elle connait par cœur le nom de tous les os du corps.
- Elle ne se tord jamais la cheville en talons mais toujours en chaussures plates.
- Elle pleure quand il pleut.
- Elle a toujours espoir de faire pousser un pommier sur le bord de sa fenêtre.
- Elle connait le Bro Code par cœur.
- Elle a un chat nommé Chandler.
- Elle prend toujours sa batte de baseball quand on sonne chez elle, même au milieu de l’après-midi quand on a prévenu.
- Elle parle six langues différentes, l’anglais, le néerlandais, l’espagnol, l’italien, le français et le russe.
- Dès qu’elle se cogne, elle se fait toujours un bleu.
- Elle mange des graines de tournesol grillées à toute heure du jour et de la nuit.

Que Sera, Sera
• Avatar : Penelope Cruz.
• Qui es-tu ? : Rose Delight.
• Un truc à dire ? : J'avais voulu m'inscrire sur l'ancienne version, ce n'était plus possible. La nouvelle est là, c'est merveilleux. MERCI